Collection Arts, essais et Vie pratique
Parce que nous sommes une maison d'édition généraliste ...
Parce que nous aimons la diversité et la pluralité, parce que nous préférons le mélange des genres, parce que nous aimons travailler avec des auteurs d'horizons différents. Voilà quelques unes des raisons qui nous ont permis de bâtir ce catalogue « très varié ».
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Promenade des Anglais
L’histoire d’un mythe
Martine Arrigo-Schwartz
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L'extrait de la préface de Jean-Jacques Aillagon (ancien Ministre de la Culture et de la Communication, Président de la Mission “ Promenade des Anglais “)résume très bien la teneur de cet essai...
"L’exploration à laquelle procède Martine Arrigo-Schwartz dans ce livre est passionnante. Elle a aussi le grand mérite de reconstituer, à travers des images, des extraits d’œuvres variées, des anecdotes, mais aussi des analyses critiques, un monde où se mêlent le passé et le présent, le soleil et la mer, les paysages, les architectures, les événements historiques et leurs reflets artistiques ou littéraires… C’est une sorte de kaléidoscope que l’auteure déploie par petites touches impressionnistes qui explorent finalement un vaste panorama littéraire et artistique… (extrait de la Préface de Jean-Jacques Aillagon).
L'auteur :
fascinée par le génie du lieu, Martine Arrigo-Schwartz est niçoise, peintre-paysagiste et universitaire. Ancienne élève des Beaux-arts d’Angers, licenciée en lettres classiques, licenciée en histoire ancienne et médiévale, docteur en littérature de l’Université de Nice-Sophia Antipolis. Elle a déjà publiée deux essais sur la thématique du génie du lieu De la baie des Anges à la Promenade des Anglais et La Suisse Niçoise : des images et des hommes, un essai Âme Slave au Pays Bleu, et deux ouvrages de référence sur les chasseurs alpins aux éditions Baie des Anges : La Belle Époque des Chasseurs Alpins et Les Chasseurs Alpins dans la tourmente.
Isbn 978-2-37640-002-8 / format 14x21 cm / 184 pages (dont 20 pages couleurs) / 18,00 euros |
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L’école de Nice, mythe et réalité
Morgane Nannini
Préface de Marcel Alocco / Postface de Robert Roux
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Cet essai est le premier ouvrage de notre jeune auteure Morgane Nannini (moins de 30 ans !), il va permettre au lecteur de tout comprendre sur cette "Ecole de Nice", son apport, sa place dans le milieu de l'art et ce qu'il en reste en 2017... La préface est signé Marcel Alocco, la photo de couverture est de la talentueuse Fanny Genoux (photographe et enseignante).
L’ouvrage :
Il est difficile, quand on parle de l’Ecole de Nice, de démêler la part de mythe des réalités. Souvent, lorsqu’une époque marque l’histoire de l’art, l’Histoire échappe aux artistes et aux témoins. Par les récits des uns et des autres, les interprétations, le bouche à oreille, l’Histoire se transforme au fil du temps, des paroles et des écrits. Tout cela se fait sans mauvaise intention, l’histoire de l’art est écrite par les Hommes, rien de ce qui sort d’un esprit humain ne peut être parfaitement objectif. Cet essai ne le sera donc pas totalement non plus. Cependant, cet essai écrit un demi-siècle plus tard par une historienne de l’art, non impliquée personnellement, ne pourra être que plus neutre. Cet essai a pour but de donner une vision globale de ce qu’a été l’Ecole de Nice et d’essayer de comprendre où se situe la limite entre mythe et réalités.
L’auteur :
Morgane Nannini, née au début des années 90 à Nice se découvre très tôt une passion pour l’art et l’archéologie. Initiée par ses parents et ses grands-parents ; emmenée dès son plus jeune âge par sa mère dans de nombreux musées, elle décide d’étudier les langues mortes (latin et grec) dès le collège et entre en seconde littéraire option histoire de l’art au lycée Estienne D’Orves. Ces trois années d’études secondaires auront confirmé son choix et c’est ainsi qu’elle se dirige vers une licence d’histoire de l’art et archéologie à l’Université Aix-Marseille I avant d’intégrer l’Université Paris I - Panthéon-Sorbonne d’où elle sortira diplômée d’une Maîtrise d’histoire de l’art spécialité art contemporain et d’un Master II Recherche en histoire et politique des musées et du patrimoine artistique.
En 2015, sa rencontre avec les éditions Baie des Anges l’améne à la rédaction d’un essai sur l’Ecole de Nice, sujet qu’elle étudiait depuis plus deux ans. Aujourd’hui, Morgane vit et travaille à Nice en qualité d’historienne de l’art et conférencière (MAMAC, Grimaldi Forum Monaco, ...) et professeur d'histoire de l'art à l'école Itecom Art-Design.
ISBN N°978-2-37640-000-4 / format 11x17 cm / 104 pages / 8,50 euros |
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Le Journal d’une Exposition
ou Petit manuel à l'usage des artistes débutants et autres utopistes
Jérémy Taburchi
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L’auteur nous livre dans ce journal intime les petites histoires et les grands secrets de la préparation d’une de ses expositions de peinture. Loin des clichés liés à la fascination qu’inspire le milieu artistique auprès du public, Jérémy Taburchi nous raconte ici les dessous obscurs des rapports humains concurrentiels qui y règnent. Les personnalités de ses collègues, leur part d’ombre, leur part de lumière, y sont décrites d’une plume intransigeante. Ce livre est à la fois le récit d’une recherche technique et d’une quête personnelle, dont les enseignements pourront éclairer toutes les personnes qui s’intéressent de près ou de loin au monde de l’Art.
Jérémy Taburchi est un artiste peintre, plasticien et dessinateur de presse né à Nice en 1974. Inspiré par les formes et les couleurs de son premier métier de Webdesigner, il donne naissance à son personnage du Chat Rose au début des années deux mille. Également écrivain, l’auteur explore les travers de ses contemporains dans des ouvrages humoristiques et surréalistes.
ISBN 978-2-917790-95-3 / format 11x17 cm / 80 pages /8,50 euros |
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MOYA et le carnet des desseins
Patrick Moya
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Cet ouvrage regroupe plusieurs centaines de dessins en noir et blanc, avec un classement thématique. Patrick Moya en signe le préambule et la journaliste Florence Canarelli la Postface, dont voici un court extrait.
"Depuis toujours, Moya dessine. Partout et en tous lieux. Assis ou debout. En train, en avion ou au restaurant. A la craie pour poser les grandes lignes dans une peinture. Au feutre-pinceaux à pigments pour les dédicaces sur ses livres. Au pinceaux pour ses dédicaces au dos des toiles. Au feutre très fins sur ses carnets à dessins dans les musées ... Des carnets qu'il a rempli par dizaines, par centaines, au fil des ans, depuis ses études d'art à la Villa Arson de Nice. Des carnets de tous formats et de toutes origines, achetés le plus souvent sur place lors de ses voyages. Des carnets de dessins qui parlent de ses « desseins » … et dessinent les grandes lignes de son aventure artistique."
Patrick MOYA, l'artiste qui vit dans son oeuvre
Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick MOYA cherche à être partout, érigeant en Asie de grandes sculptures en acier ou modelant dans l'argile en Italie des céramiques avec les lettres de son nom, passant des pinceaux à l'ordinateur, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Une démarche invasive et unique qui prend comme prétexte son nom et son image.
Né en 1955 à Troyes, Patrick MOYA fait des études d'art à la Villa Arson de Nice (1974-1977), avant de poser nu comme modèle aux beaux-arts (1979-1989) dans le but de devenir la créature et non le créateur. Tout en réfléchissant à la place de l'artiste dans le monde contemporain.
Il commence par réaliser des oeuvres uniquement avec les lettres de son nom, assimilant l’œuvre à sa signature, avant de marquer de son nom des images du dictionnaire et enfin, de créer son personnage (1997), autoportrait décalé bientôt entouré bientôt d'un bestiaire presque qu'humain, qui ensemble, forment son Moya Land.
Il possède aujourd'hui plusieurs îles virtuelles sur Second Life qui le fait considérer par le critique italien Mario Gerosa comme l'un des pionniers des univers virtuels. Il conçoit son île en 3D comme une oeuvre d'art globale : le créateur est enfin devenu une créature sous le nom de son avatar, Moya Janus, qui reçoit les visiteurs en les immergeant dans son univers.
ISBN 978-2-917790-97-7 / format 19x23 cm / 104 pages / 12,50 euros |
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Les dessins de presse les plus vus dans le monde...
Jean-Jacques Beltramo
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Par l’Auteur de “L’Homme qui dessinait à la Radio” !
Suivi des Dessins Refusés de BELTRAMO
Ce nouveau recueil regroupe les meilleurs dessins de presse publiés sur la page Facebook de France Bleu Azur (entre novembre 2015 et mai 2016). Classés par ordre chronologique, deux dessins par page, on y découvre 126 dessins. En supplément nous avons regroupés 24 dessins inédits, moins politiquement correct dans une rubrique intitulé : les « Refusés de Beltramo » !
Jean-Jacques Beltramo, retraité d’un grand groupe bancaire français, vit à Antibes. Egalement artiste peintre (plusieurs expositions locales et un prix international de dessin) et photographe (expositions en France et à Hong-Kong) il est désormais dessinateur de presse. Il réalise ses premiers dessins humoristiques à 20 ans. Aujourd’hui, membre de la Fédération of Cartoonist Organisation-section France et Président de l’association caritative Les Rires du Cœur de Patricia, il collabore quotidiennement avec France Bleu Azur, les Petites Affiches des AM et mensuellement avec le magazine monégasque La Principauté. A noter que depuis 2015, il est titulaire de la Carte de Presse.
Avec ses illustrations humoristiques il collabore également avec les Etoiles de Mougins, Agecotel, l’Union Patronale 06 et 83, le web site Paris-Côte d’Azur, le Podcast Journal de Monaco, la marque de bijoux Zoé la Belette et fait partie de la troupe de théâtre-forum Alter Action où il pratique sa spécialité : le dessin en direct.
ISBN 978-2-917790-96-0 / format 12,5x18 cm / 80 pages / 7,50 euros |
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L'artiste à l'oeuvre
La poétique d'Aristote à l'Ecole de Nice
par Yves-Marie Lequin
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La maison d'édition niçoise Baie des Anges est fière de publier cet essai philosophique, sur fond d'art contemporain et d'école de Nice. Ce texte admirablement écrit, riche de référence, est merveilleusement complété par des photos de Frédéric Altman montrant l'artiste niçois Arman dans son atelier.
L'ouvrage : Parcourir la Poétique d’Aristote, c’est se plonger dans un texte vieux de deux mille trois cents ans, l’occasion de partir à la rencontre d’une pensée étonnamment jeune, pleine d’enseignement et de sagesse féconde. Aristote s’adresse à tous les artistes non pas pour leur dire ce qu’ils ont à faire, mais pour les engager sur la voie de la liberté de leur art. Parce que le mouvement artistique de l’École de Nice, sans rien connaître de ce texte ancien, l’a mis à sa manière en œuvre au vingtième siècle, elle accompagne en photos d’ateliers cette réflexion. C’est l’œil-objectif de Frédéric Altmann qui a su saisir ces moments où le créateur est au travail, en particulier l’artiste niçois Arman. Par-delà les siècles, au bord de la même mer Méditerranée, en quelques instantanés, ce poète du matériau répond à l’appel du philosophe antique. L’odyssée est incertaine, remplie d’écueils et d’horizons tourmentés, mais toujours la quête de nouvelles formes attire les aventuriers. Il y a un avenir à l’art.
L'auteur : Yves-Marie Lequin est lui-même un artiste. Il vit à Nice. Il peint depuis plus de trente ans presque exclusivement des encres et gouaches sur papier, plus de sept mille à ce jour, qui sont régulièrement exposées. Ses œuvres servent de support iconographique à diverses publications.
Chez les Dominicains, il s’est formé en philosophie et théologie. Un long séjour à Londres, à Leicester, à Louvain en Belgique, puis à Paris lui permet d'approfondir ses recherches en esthétique. Dans ce domaine, il a travaillé le texte grec de la Poétique d'Aristote et a proposé à la lumière de ce texte ancien une nouvelle compréhension de la situation de l'art contemporain.
A noter que Yves-Marie Lequin, dominicain, organise chaque année la fameuse messe des artistes en l'église St Pierre d'Arène, selon une tradition qui remonte à 1926 : la messe du mercredi des cendres, dite « messe des artistes », selon le Vœu de Willette.
isbn 978-2917790-90-8 / 72 pages / Prix 7,50 euros / Format 11x17 cm
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Si douce est la soie
par Josette Imbert
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L'ouvrage : Si Douce est la Soie sous une forme romancée ponctuée d’une rosée de poésie dévoile en remontant jusqu’en 1815 quelques repères de l’histoire de Gilette, petite commune perchée sur les dernières marches des Alpes-Maritimes avant la mer. Florian Méderic descendant d’une lignée de meuniers revient au pays natal savourer une paisible retraite sur ses terres d’oliviers. Par les sentiers pierreux ou près de son moulin endormi, il retrouve les précieux souvenirs d’une enfance vécue dans le cadre simple et attachant d’un pays où dans les temps anciens l’élevage du ver à soie se pratiquait. Un signe venu d’ailleurs le renvoie à un épisode douloureux du passé familial. Dès lors, Florian habité par un rêve insensé, s’aventure vers l’incroyable.
L'auteur vu par Patricia Demas, Ancienne élève de Josette Imbert, Maire de Gilette
Josette Imbert Gastaud est née en 1935 à Gilette. Elle s’adonne volontiers aux plaisirs du chant, du théâtre, et de la poésie. Institutrice, elle a enseigné dans plusieurs villages de la vallée de l’Estéron et pendant 26 ans à Gilette qu’elle n’a jamais quitté. L’année 2004 marque le passage d’un passe-temps qui deviendra une passion captivante : l’écriture.
Gilette est la patrie de Josette Imbert Gastaud. Tous ses ouvrages célèbrent avec pudeur et vérité cette terre, sa terre, tant aimée et les hommes qui y vivent.
En véritable passeur de mémoire, Josette Imbert Gastaud, regard de lumière, non dénué d'une acuité, raconte les choses et les êtres avec sensibilité et réalisme. On sent qu’elle aurait pu voir passer les siècles dans cet univers si familier, sans jamais se départir d'une indulgence tendre et raisonnée pour Gilette qu’elle invite à découvrir, comprendre et aimer. “
Isbn 978-2-917790-82-3 / Prix 14 euros / format 14x21 cm / 160 pages |
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Le cas Moya
par Florence Canarelli
Préface de Patrick Moya
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Après une première biographie parue en 2006, la journaliste Florence Canarelli récidive avec cette nouvelle version "du cas Moya" totalement remaniée, nouvelle maquette, nouvel éditeur, 352 pages couleurs, comprenant plus de 400 photos et 4 contributions extèrieures.
L'ouvrage : Ayant suivi de près, dix ans durant, l'aventure artistique de Moya, elle a pu constater la quantité impressionnante de ses nouvelles activités tous azimuts. Et observer le fonctionnement « moyesque » : un perpétuel mixage et remixage, une perpétuelle déclinaison, reprise et revisite de son oeuvre.
Où l’on verra que, grâce à son travail en arborescence, Moya garde la plus grande des libertés, ce qui lui permet d'être à la fois classique et baroque, abstrait et figuratif, réel et virtuel, narcisse et généreux, amoureux des spectacles populaires comme le cirque ou le carnaval aussi bien que l'objet d'un catalogue raisonné très sérieux (et très épais) retraçant 40 ans de création.
Cette nouvelle édition s’est également enrichie de regards différents sur l’oeuvre de Moya : un spécialiste des mondes virtuels en Italie (Mario Gerosa), un journaliste culturel (Olivier Marro), un galeriste franco-allemand (Marco Schütz), un agrégé de littérature comparée (Patrick Hubner).
L'auteur : Florence Canarelli est journaliste indépendante à Nice, où elle a collaboré à de nombreux magazines, généralistes, économiques ou culturels. Depuis le premier « Cas Moya » paru en 2006, elle est l'auteur de plusieurs livres, textes et préfaces sur Patrick Moya.
Extrait de la préface de Patrick Moya :
"Préfacer un livre qui parle de soi n'est pas simple et encore plus quand il parle de moi et que dire quand il parle de Moya. Ayant toujours rêvé d'être universel, par la pratique de multiples techniques et styles et par la multiplication de mes avatars, il me faut choisir lequel de mes doubles peut parler des autres.
Ici, dans ce livre, on parle du Moya réel et même plus que réel puisque c'est celui qui travaille et qui crée. Ce n'est même pas celui qui fait figure d'artiste ou qui donne le spectacle du travail. C'est celui qui aurait dû rester en coulisse, pour laisser à tous les autres le soin de traverser les multiples médiums, aussi divers que la peinture ou le numérique, sans être relié aux ficelles du « métier », qui souvent encombrent l'artiste..."
ISBN N°978-2-917790-80-9 / 352 pages couleurs / Format 14x21 cm / Prix 19,50 euros
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Comic Strips
Les origines du Chat Rose
Par Jérémy Taburchi
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L'ouvrage : Le présent recueil est une réédition du premier ouvrage de Jérémy Taburchi publié en 2008 aux éditions Baie des Anges. Le lecteur, qu'il soit connaisseur ou pas de son personnage du Chat Rose pourra découvrir dans cet ouvrage "historique" les premiers pas du facétieux animal dans le milieu du dessin de presse. Les bandes dessinées qui s'y déroulent joyeusement sont inspirées par des thématiques culturelles locales, des anecdotes politiques, et le mode de vie azuréen, mais aussi par l'actualité des années 2007 et 2008.
Pour les personnes qui suivent régulièrement le travail de l'artiste, il sera particulièrement intéressant d'observer l'évolution du caractère du personnage, tout comme celui du trait du dessin.
L'auteur : Jérémy Taburchi est né en 1974 à Nice. Autodidacte de formation, il crée son entreprise de Webdesign en 2003. Passionné d'art et grand amateur des comic strips américains qu'il lit régulièrement dans différents journaux, ses coups de pinceaux numériques donnent rapidement naissance au personnage du Chat Rose. L'artiste met l'animal en scène dans des situations décalées et drôles, et le décline sur différents supports : toiles peintes à l'acrylique, des animations videos, et même quelques sculptures. A partir de 2007 la presse locale s'intéresse à ses planches colorées à l'humour cynique. C'est le début d'une nouvelle aventure, dont le présent recueil, qui est une réédition de son premier livre publié aux éditions Baie des Anges en 2008, est augmenté de pages couleurs. Le lecteur y découvrira quelques uns des meilleurs "comic strips" du Chat Rose, pour une plongée aux origines d'un parcours créatif atypique, situées aux frontières des mondes numériques et des arts plastiques.
ISBN N°978-2-917790-79-3 / 8,50 euros / format 20x15 cm / 50 pages en noir & blanc et 4 pages en couleurs |
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L'amusé de l'école
Jean-Jacques Beltramo
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L’ouvrage :
Dessinateur de Presse, Jean-Jacques Beltramo publie un premier ouvrage « Dessins de presse » en 2012, puis un second en 2014 qui regroupe les dessins qu’il réalise pour le site Facebook de France Bleu Azur sous le titre « L’homme qui dessinait à la radio » où il montre l’étendue de son talent et sa capacité à couvrir l’actualité.
Cette année avec « L’Amusé de l’Ecole », il présente sous forme de strips (dessin en 3 cases) les aventures de Raymon’école, l’instit d’antan, qui est un esprit échappé d’un encrier du Musée de l’Ecole. Musée situé sur le port d’Antibes, créé par l’association "Notre école" il y a 10 ans.
Jean-Jacques nous livre ses humoristique réflexions sur l'école d'aujourd'hui et celle d'hier mais pas seulement car dans les dernières pages de l'ouvrage il "croque" l'actualité et rend hommage ("Je suis Charlie") au dessinateur Cabu !
A noter que c'est sa troisième collaboration avec les éditions Baie des Anges.
L'auteur : Jean-Jacques Beltramo, retraité d’un grand groupe bancaire français, vit à Antibes. Egalement artiste peintre (plusieurs expositions locales et un prix international de dessin) et photographe (expositions en France et à Hong-Kong) il est désormais dessinateur de presse. Il réalise ses premiers dessins humoristiques à 20 ans, qui sont publiés à l’époque dans le journal antibois Le Négavesque. Aujourd’hui, membre de la Fédération of Cartoonist Organisation-section France et Président de l’association caritative Les Rires du Cœur de Patricia, il collabore quotidiennement avec France Bleu Azur, les Petites Affiches des AM et mensuellement avec le magazine monégasque La Principauté.
Avec ses illustrations humoristiques il collabore également avec les Etoiles de Mougins, Agecotel, l’Union Patronale 06 et 83, le web site Paris-Côte d’Azur, la marque de bijoux Zoé la Belette et fait partie de la troupe de théâtre-forum Alter Action où il pratique sa spécialité : le dessin en direct.
isbn 978-2-917790-78-6 / Prix 8,50 euros / format 20x15 cm / 64 pages |
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Esba
Histoires de sorcellerie à Ilonse en Tinée
Pascal Colletta & Louis Pastorelli
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Neuf nouvelles trilingues en Provençal, Niçois et Français
Voici des histoires venues du passé, celui où devant la cheminée s’échangeait des peurs, des savoirs, des vies. Ces histoires évoquent toutes des manifestations de sorcellerie incarnées par un personnage omniscient, mystérieux dénommé la mascho ou la masca en niçois. Elles sont issues d’interviews effectuées par Pascal Colletta auprès des anciens d’Ilonse et sont de ce fait inédites. Tel un ethnologue, l’objectif de l’auteur a été, de les retranscrire afin qu’elles ne s’évanouissent pas dans l’oubli.
Ces légendes ont été rédigées comme elles ont été enregistrées c’est-à-dire en gavot (provençal alpin) puis traduits en français. Jérémie Marçais leur a donné ensuite une « vie » niçoise multipliant, de la sorte, leur richesse culturelle et lexicale. Dans un autre domaine et afin d’octroyer un horizon plus large à ces textes, Louis Pastorelli leur a donné un prolongement graphique dans lequel le lecteur pourra construire et réinventer sa pensée.
Cet ouvrage est de ce fait unique puisqu’il propose pour la première fois une lecture trilingue de ces neuf nouvelles qui lient les forces terrestres, de la nature au cosmos, les forces humaines, de la sorcellerie à la médecine, tout en suggérant au lecteur des croyances inavouables.
Extrait :
Le jour se lèvera tôt, le soleil percera haut. Je quitte le col de la Sine et marche dans le matin brumeux. Au-dessus de ma tête des feuilles d’automne s’évanouissent, des feuilles telles des mains d’enfants.
Chaque pas décrit une nostalgie de la terre souillée.
La chapelle Saint-Pons se dresse devant moi, je la devance sans y prêter attention. Je poursuis alors mon rêve sur une terre marneuse, grisâtre. Des volutes m’enveloppent et je distingue difficilement le chemin. Je parviens pourtant au lieu-dit « Lou Balaour ».
C’est ici précisément qu’autrefois se réunissaient sorcières, sorciers et autres créatures pour une improbable célébration des forces de la nature. Je m’assieds, observe l’horizon, uno mascho me rejoint : Esba !
Format 21x25 cm / 80 pages / ISBN N°978-2-917790-68-7 / Prix 14,90 euros |
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« L’homme qui dessinait à la radio !»
Dessin de Presse 2014
Jean-Jacques Beltramo
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L’ouvrage : Cet ouvrage regroupe les meilleurs dessins créés entre novembre 2013 et mai 2014 pour illustrer l’émission « la ligne ouverte » de la radio France Bleu Azur et publiés sur la page Facebook de France Bleu quotidiennement. Ce recueil est son second ouvrage après « Dessins de Presse » paru en 2012. Il montre l’étendue du talent de Jean-Jacques, sa réactivité (sujet donné à 14h par la rédaction et livré le soir même !) et sa capacité à couvrir l’actualité !
ISBN N°978-2-917790-65-6 / Format 12,5x18 cm / 72 pages / Prix 7,00 euros |
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L’art dans le nuage, du réel au virtuel et inversement
Patrick Moya
Préface de Florence Canarelli
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À l'heure où émerge le cloud computing, un artiste qui vit depuis longtemps dans le nuage informatique, s'interroge sur l'avenir de l'art.
Cet ouvrage en format de poche, signé Patrick Moya est la nouvelle édition de son premier ouvrage en tant qu’auteur « l’art dans le nuage ». C’est une édition enrichie, augmentée avec quatre nouveaux chapitres et l’insertion de nombreuses illustations (en noir &blanc). C’est surtout une réflexion sur l’avenir de l’art, de l’artiste, de sa relation avec le monde réel et le monde virtuel. En 29 chapitres, courts, mais très denses, l’auteur nous dévoile ses réflexions et se pose (nous pose) des questions essentielles à l’heure où le “réseau” occupe une place de plus en plus importante dans notre vie quotidienne, où l’usage du “nuage informatique” se développe...
Une préface de la journaliste Florence Canarelli et des “bonus” sous forme d’interviews, ainsi qu’une bibliographie complète viennent clôturer l’essai.
Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick Moya cherche depuis ses débuts, à être partout, passant des pinceaux à l'ordinateur, du néo-lettrisme à la figure libre, d'oeuvres réalisées uniquement avec les lettres de son nom, jusqu'au bestiaire presque humain qui accompagne son autoportrait en Pinocchio, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Un rêve d'ubiquité qu'il poursuit aujourd'hui en devenant le marionnettiste de lui-même, revisitant et mixant son travail, et le mettant en scène sur ses îles virtuelles en 3D, dans lesquelles il a réalisé son rêve de créature vivant au coeur de l'oeuvre d'art.
Citation :
“ Il y a moins à craindre de se perdre dans les mondes virtuels que dans la lecture d'un livre. “
Extrait :
Le réel comme support de la virtualité
Ce n'est pas en traversant le miroir, pour l'instant, mais en restant entre deux, se reflétant créateur dans la créature et créature dans le créateur, qu'il peut être un artiste toujours humain.
Le médium transparent
En vivant le plus souvent possible à l’intérieur de l'image, sur le Moya Land virtuel, je n'arrive pas à vraiment savoir ce qui est de l'art ou n'en est pas, mais je sais que je suis un artiste.
Impression de la 3D
Il est probable que ce qui s'imprimera dans le futur sera ce qui est déjà largement utilisé dans les mondes virtuels.
En liant l'existence de l'objet à sa nécessaire modélisation préalable en 3D, il sera plus simple et plus tentant de placer cet objet dans le monde virtuel plutôt que de l'imprimer, si on n'en a pas un besoin impérieux, diminuant ainsi la présence de l'objet réel au profit des objets virtuels
ISBN N°978-2-917790-67-06 / Format 11x17 cm / 100 pages / Prix 8,50 euros
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« Des Artistes sous Antibios » - Volume 2
par Jérémy Taburchi
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Après le succès du premier volume et près de 4 ans d’attente : Jérémy Taburchi nous livre enfin dans ce second volume des "Anti-biographies", dix véritables fausses biographies d'artistes niçois (et d'ailleurs). Les vies supposées de ces honorables personnes sont une nouvelle fois scrutées et dépecées sous le microscope d'un exercice de style typiquement surréaliste. Dans ce nouveau recueil, les passés - troubles ou glorieux - de Martin Caminiti, Virginie Broquet, Kristian, Roxane Petitier, Laurent Bosio, Aazclairicia, Gilles Miquelis, Nivese, Claude Rosticher mais aussi Héléna Krajewicz seront dévoilés au public.
Le milieu artistique niçois ne s'attendait certainement pas à ce qu'un loup-garou y sévisse, ni à ce qu'une reprise de justice se révèle être un pilier de la fameuse Ecole de Nice. Dans ce livre personne n'est épargné ! Son auteur, faisant fi des menaces, livre ici des secrets bien gardés.
A découvrir d’urgence !
Extrait :
«Nivese naît une seconde fois un matin de février 1962. Au même moment son style explose, l'amenant à une reconnaissance nationale inattendue : douée pour le crime, elle l'était aussi pour l'Art. Et si certains artistes commettent leurs œuvres, Nivèse elle, flinguait ses concurrents à grands coups de talent.
Ces temps bienheureux allaient perdurer quelques années. Le succès de l'artiste grandissant, son bonheur semble total. L'argent coule à flots. C'est à ce moment qu'elle rencontre Frédéric Altmann, éminent critique belge et amateur de blagues vaseuses. Il la séduit avec une de ses répliques favorites : « Elle embrasse bien ! ».
ISBN N°978-2-917790-66-3 / Format 11x17 cm / 76 pages / Prix 7,50 euros |
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La plume des jours
par Dominique Landucci
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Cet ouvrage est né de la rencontre entre l’artiste carrossois Dominique Landucci et la maison d’édition niçoise Baie des Anges. En format à l’italienne en noir et blanc cet ouvrage d’artiste atypique à tirage limité, se veut comme une rencontre entre l’univers de l’artiste et l’amateur d’art ou le béotien sensible au dessins à la plume…
L’ouvrage : ce sont 366 dessins qui ont été réalisée par Dominique Landucci durant l’année 2013. Ces œuvres à l’encre de chine, sont dessinées avec des bambous de son environnement, sur des toiles de lin enduites et marouflées ensuite sur des carreaux de bois contreplaqué de 10cm par 10cm. Ces pièces uniques et originales sont numérotées de 1/366 à 366/366 et présentées en triptyque. Ces dessins ponctuent toute une année, comme l’éphéméride qui s’effeuille au fil de La plume des jours. Ils vous inviteront à déambuler au gré des méandres de la création libre de l’artiste. Un dessin en amenant un autre, jour après jour, sans logique ni raison, dans une libre fantaisie poétique.
La photo de couverture est de Nicolas Bocquel, prise lors du spectacle donné à Carros le 22 septembre 2012 lors du Festival « Roulez Carros ». Les photos intérieures sont de Martine Kessler. Les textes sont extraits du « Carnet de notes d’atelier 2013 » de Dominique Landucci.
L’auteur : Dominique Landucci, artiste peintre, depuis presque 40 ans n’a jamais oublié :
Que le dessin a été sa première passion à l’Ecole d’Art et d’Architecture de Luminy à Marseille dans les années 70,
Que le noir et le blanc sont indispensables pour faire chanter les couleurs,
Que le dessin est la calligraphie initiale d’une écriture artistique,
Que le dessin est l’entrainement quotidien qui apprend à la main à faire le geste juste sans réfléchir,
Que le dessin est un langage universel qui s’adresse à tout le monde,
Que le dessin est le plus court chemin des yeux au cœur,
Que le dessin révèle d’un seul trait la beauté intérieure,
Que du dessin rupestre des bisons, au dessin virtuel des souris, la grammaire du trait est le langage initial de tous les logiciels humains,
Que le dessin est le solfège du joueur de pinceauphone,
Que le dessin peut être animé... A vous de lui donner votre propre mouvement.
ISBN N°978-2-917790-59-5 / Format 22x15 cm / 152 pages en noir & blanc / Prix 15,00 euros
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André Verdet, mon carnet photos
... de St Paul au Mont Fuji
Par Frédéric Altmann
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Cet ouvrage/hommage à André Verdet, a été édité pour commémorer le centième anniversaire de la naissance de Verdet. Et qui mieux que Frédéric Altmann pouvait l'écrire et le mettre en images ! "André Verdet mon carnet photo" se veut comme une promenade intime dans l'univers d'André Verdet. Vous y trouverez documents rares (pochette de disque, invitations) coupures de presse, lettres et enveloppes manuscrites, les témoignages de Pierre Restany, de Gilbert Trem et de Daniel Ziv, mais aussi de nombreuses photos (dont certaine inédites) prisent par Frédéric Altmann...
L'auteur :
Frédéric Altmann est sans conteste un des critiques connus et reconnus de l’Ecole de Nice. Il fut même le critique d’Art le plus assidu de ses mouvances. Il s’attacha à faire connaître cette Ecole et les différents artistes par de multiples articles dans le quotidien Nice-Matin. Il multiplia les conférences, les publications de par le monde. Il fut commissaire d’exposition sur l’Ecole de Nice au Japon et en Corée du Sud. Frédéric Altmann participa largement à la conception du Musée d’Art contemporain à Nice (MAMAC), développant souvent des idées iconoclastes, avant de diriger jusqu’en 2005 le CIAC, le Centre International d’Art Contemporain de Carros. Un centre ou il s’est toujours efforcé de défendre la jeune création. Il y organisa, entre autres, des expositions avec André Verdet, Marcel Alocco (2002), Bruno Mendonça (2002), ainsi qu’une méta-exposition sur Alexandre de la Salle (2000).
Extrait :
“C'est par l'intermédiaire de Jacques Lepage, poète, critique d'art que je fis la connaissance d’André Verdet, lors d'un récital poétique organisé en 1967, à Nice. Depuis cette soirée mémorable, André Verdet ne m'a plus quitté, j'ai été son interprète dans de nombreux disques, de nombreux récitals poétiques et jusqu'au pied du Mont Fuji, lors de notre séjour au Japon en 1995 ... En 1992, il me fit octroyer, une reconnaissance du monde artistique « Chevalier des Arts et Lettres ». Il a écrit et cela ne s'oublie pas
« L'amitié que je porte à Frédéric Altmann remonte loin dans les années. Je sais que cette amitié est partagée... C'est grâce à lui que j'ai pu pénétrer mieux avant dans l'oeuvre des représentants de ces divers courants, ceux que Fernand Léger nommait “les populaires” et que moi-même j'aime appeler “les éblouis” ».
J'ai le souvenir aussi des rencontres avec Pierre Restany et André Verdet, des moments exaltants autour du Nouveau Réalisme et de l'Ecole de Nice ... avec dans l'ombre leur ami commun Yves Klein, près de Sainte-Rita, à quelques pas d'ici ... Nice était et reste un territoire privilégié pour des rencontres inoubliables ...”
Frédéric Altmann
Prix : 13,00 euros / format 14x21cm / 56 pages noir et blanc / ISBN N°978-2-917790-56-4 |
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Dr Chat Rose et Mister Strange
Par Jérémy Taburchi
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Le héros : Le Chat Rose
L’ouvrage : cette BD au format manga, de 68 pages en noir et blanc nous immerge dans l'univers caustique, voire trash du Chat Rose personnage emblématique de son créateur Jérémy Taburchi. Mis sous pression par son éditeur, Le Chat Rose est obligé de travailler en août ... pour pouvoir profiter pleinement des ragazze et du soleil, il déniche un "Manuel de Sorcellerie Niçoise" qui devrait lui permettre de réussir mille choses en un temps record !
Voici le pitch d'une aventure - entre Nice et Punta d'El Este - rocambolesque, drôle, satirique, trash et 100% nissart !
L’auteur : signe ici son troisième ouvrage avec la maison d'édition Baie des Anges. Jérémy Taburchi est un artiste niçois, sculpteur, plasticien, écrivain (Des Artistes sous Antibios dix vrais fausses biographies d'artistes niçois, paru en 2011), dessinateur de presse (l'ouvrage "Le Chat qui dérape" paru en 2009) et le créateur du “fameux” Chat Rose, dont vous trouverez ici les nouvelles aventures ...
Attention : cette BD ne peut pas être mise entre toutes les mains : évitez les grincheux, les honnêtes gens, les allergiques aux chats et tout lecteur n'ayant pas le sens de l'humour ...
Prix : 8,50 euros / ISBN N°978-2-917790-55-7 / 68 pages / Format 12,5x18 cm |
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Rafles – Nice 1942-1944
Par Jean-Luc Guillet
Préface de Serge Klarsfeld
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« Partez à leur recherche ! m'a écrit un jour Serge Klarsfeld, après m'avoir précisé que la plus importante des lacunes, en ce qui concerne les rafles d'août 1942, étaient les adresses des Juifs arrêtés. Si leurs noms figurent sur les listes établies, leurs adresses, pour la plupart, manquent. Partez à leur recherche ! Ces mots, en forme de demande, m'ont longtemps tenu éveillé. C'était cela qu'il me fallait entreprendre. Les retrouver pour mieux encore préciser les arrestations, mais surtout pour donner plus d'épaisseur humaine aux victimes et à leurs familles. » Jean-Luc Guillet (extrait de la Postface)
L’ouvrage : en 128 pages et de nombreux témoignages Jean-Luc Guillet retrace l’itinéraire, l’errance et la souffrance de nombreux Juifs. Divisé en deux périodes : 1933-1942 (Exil, Nice ultime destination, Traque, Déportation) et 1942-1944 (Brunner déclenche les rafles à Nice, Visages de la Résistance Juive) pour finir par quatre entretiens poignants (Joseph Sosnowski, Féodor Merowka, Hanna Beer et Anna Traube)
Auteur résidant à Saint-Raphaël, Jean-Luc Guillet a publié de nombreux textes et livres sur le patrimoine de la Côte d'Azur, ainsi que sur les auteurs Allemands en exil à Sanary-sur-Mer, les écrivains anglo-saxons sur la Riviera, et à plusieurs reprises sur Scott et Zelda Fitzgerald.
Prix : 12,50 euros / ISBN N°978-2-917790-54-0 / 128 pages / Format 14x20 cm
Extraits de la préface de Serge Klarsfeld
“En s'appuyant sur l'enchaînement des événements qu'il respecte scrupuleusement, l'auteur restitue à beaucoup de ces gens traqués ce que fut leur personnalité et leur existence avant le drame, et ce que devint leur destin après. Une grande humanité passe à travers l'évocation de tous ces êtres pourchassés à travers l'Europe… Le livre, aussi par les documents des Archives départementales, est passionnant, utile, émouvant, précis et nécessaire. Je le recommande à tous, surtout à la population des Alpes-Maritimes, pour qu'elle sache ce qui s'y est passé et qu'elle se rende compte que les Français de l'époque ont été solidaires des Juifs.”
Les rafles de la rue Maréchal Joffre
« Le samedi 11 septembre 1943, aux alentours de 17 h 40, deux camions chargés de soldats allemands venant de la rue de la Buffa remontent la rue Dalpozzo pour stopper à l'angle de la rue Maréchal Joffre. Avant que ne sautent des camions les soldats, trois hommes se tenant à l'entrée de l'Hôtel Windsor, au n°41, prennent aussitôt la fuite en direction de la Buffa, bientôt pris en chasse par un officier allemand criant « Halt » et tirant des coups de feu dans leur direction. Ca claque et crépite tout autour puis soudain plus rien ; par miracle le revoler s'est enrayé. Alors que l'officier suspend sa course, les trois hommes disparaissent en une poignée de secondes aux coins du passage Meyerbeer et de la rue de la Buffa. Ils sont saufs ! » |
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Moya fait son cirque
Par Patrick Moya
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L'art est un spectacle, aime à dire Patrick Moya.
Plutôt que de dénoncer la société du spectacle, Moya préfère s'y plonger avec gourmandise, et en tirer toutes les ficelles au profit de son art, devenu marionnettiste de lui-même. Comme avant lui Calder ou Chagall, Matisse ou Léger, il a réalisé de nombreuses oeuvres sur le thème du cirque.
L'ouvrage : Moya fait son cirque
Moya fait son cirque, le livre, est l'occasion de découvrir les principales toiles de Patrick Moya ayant pour thème le cirque. Il est l'aboutissement de 20 ans de travail et de recherche sur ce thème.
Du Festival International du Cirque de Monte-Carlo (à partir de 2007) à l'exposition “Moya fait sont cirque à Saint-Raphaël” en février/mars 2013 en passant par l'Italie (2002/2004) cet ouvrage regroupe les principales toiles réalisées entre 1993 et 2013 par Patrick Moya sur le thème du « cirque ». Tout en couleurs, dans un format "à l'italienne" (27x19,5 cm) sur 56 pages le lecteur va découvrir le Moya circus du début des années 90 pour une exposition à l'Institut Français de Thessalonique (Grèce), puis le Moya circus du début des années 2000 qui voyage en Italie (Bari, Bologne, Avellino). Enfin de 2007 à 2013 nous découvrons les toiles monumentales réalisées à la demande de la Princesse Stéphanie de Monaco pour être installées dans le tunnel d'entrée du Chapiteau du Festival International du Cirque de Monte-Carlo. Des éléphants du Moya Circus (2009) au cirque de Moya en tournée (2013) en passant par un univers bleu Moya (2011), ce sont près de 50 oeuvres que le lecteur va découvrir "in situ" avec une mise en page ou les toiles sont comme « accrochées » au mur !
Cet ouvrage, après L'art dans le nuage paru en 2012 est la seconde collaboration entre l’artiste Patrick Moya et la maison d'édition Baie des Anges.
L'auteur : Patrick Moya, l'artiste qui vit dans son oeuvre
Plasticien, performer et artiste numérique, Patrick Moya cherche à être partout, érigeant en Asie de grandes sculptures en acier ou modelant dans l'argile en Italie des céramiques avec les lettres de son nom, passant des pinceaux à l'ordinateur, des soirées techno aux murs d'une chapelle, de l'art contemporain à l'art numérique, de la vie réelle aux mondes virtuels … Une démarche invasive et unique qui prend comme prétexte son nom et son image.
Né en 1955 à Troyes, Patrick Moya fait des études d'art à la Villa Arson de Nice (1974-1977), avant de poser nu comme modèle aux beaux-arts (1979-1989) dans le but de devenir la créature à la place du créateur. Tout en réfléchissant à la place de l'artiste dans le monde contemporain.
Il commence par réaliser des oeuvres uniquement avec les lettres de son nom, assimilant l’œuvre à sa signature, avant de marquer de son nom des images du dictionnaire et enfin, de créer son personnage (1997), autoportrait décalé bientôt entouré d'un bestiaire presque qu'humain, qui ensemble, forment son Moya Land.
Isbn N°9782917790519 / Prix 15,00 euros / 56 pages couleurs / format 27x19,5 cm |
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Dessins de Presse
Par Jean-Jacques Beltramo
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Ce recueil de dessins d’humour en format manga, regroupe les meilleures caricatures de Jean-Jacques Beltramo pour ce premier trimestre 2012.
Jean-Jacques réalise ses premiers dessins humoristiques à 20 ans, qui sont publiés à l'époque dans le journal antibois Le Négavesque. Depuis il collabore régulièrement à de nombreuses newsletters régionales et nationales. Sa rencontre avec les éditions Baie des Anges lui ouvre l’opportunité de réaliser son premier ouvrage. Ce recueil de 125 dessins, en noir et blanc, montre l’étendue de son talent, la diversité des thèmes abordés (sociétés, France, sports, business, Nissa la bella, handicap...) sans oublier la politique avec un sujet fil rouge de choix, les élections présidentielle de 2012. Ce recueil montre sa capacité à couvrir l’actualité au quotidien, comme ses illustres prédécesseurs que nous nous abstiendrons de citer ici !
Isbn 9782917790441 / Format 12,5x18 cm / 125 dessins, 64 pages / 6,00 euros
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L'Art dans le nuage
Par Patrick Moya
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À l'heure où émerge le cloud computing, un artiste qui vit depuis longtemps dans le nuage informatique, s'interroge sur l'avenir de l'art.
L’ouvrage :
Cet essai en format de poche, signé Patrick Moya (son premier ouvrage en tant qu’auteur) est une réflexion sur l’avenir de l’art, de l’artiste, de sa relation avec le monde réel et le monde virtuel. En 25 chapitres, courts, mais très denses, l’auteur nous dévoile ses réflexions et se pose (nous pose) des questions essentielles à l’heure où le “réseau” occupe une place de plus en plus importante dans notre vie quotidienne, où l’usage du “nuage informatique” se développe...
Des “bonus” sous forme d’interviews, une biographie de MOYA et une bibliographie complète viennent clôturer l’essai. L’art dans le nuage est aussi la première collaboration entre la maison d’édition Baie des Anges et l’artiste MOYA.
Extrait :
“L'art dans le nuage, c'est un art évaporé et insaisissable, qui forme l'image de la créature par l'agglomération de million de gouttelettes reflétant dans chacune d'entre elle l'image du tout, tel un hologramme. Plus prosaïquement, l'art dans le nuage, c'est un art qui n'appartient plus matériellement à l'artiste. Il n'est plus dans son atelier ni même dans son ordinateur, mais dans des serveurs, quelque part, sans qu'on puisse jamais savoir où, car au fil des sauvegardes et des transferts, le lieu de stockage n'est jamais certain...”
7,50 euros / Format 11x17 cm / 80 pages ISBN N°978-2-917790-37-3
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Des Artistes sous Antibios
14 véritables fausses biographies d'artistes niçois
Par Jérémy Taburchi
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ISBN N°9782917790229 / format 11x17 cm / 64 pages en noir & blanc / 6,50 euros
L’ouvrage :
Cet ouvrage constitue la deuxième collaboration entre la maison d’édition Baie des Anges et l’artiste niçois Jérémy Taburchi. En effet après la parution en janvier 2009 des aventures du Chat Rose (sous le vocable “le chat qui dérape”) pour un recueil de “strip” politiquement incorrect.
Voici en ce mois de novembre 2010 la parution du premier volume Des Artistes sous Antibios, 14 véritables fausses biographies d'artistes niçois. L’auteur imagine, invente, écrit la biographie de quatorze artistes parmi les plus en vue de ce que l’on pourrait appeler « la nouvelle école de Nice ».
En se basant sur des faits réels et après réflexion sur leurs œuvres (peintures, sculptures) Jérémy Taburchi a imaginé 14 fausses biographies, forcément drôles, émouvantes et lyriques. Des Artistes sous Antibios avec dans le désordre : Jean Mas, Moya, Chris Tiboise, Peter Larsen, Valérie Arboireau, Louis Dollé et Anne De Renzis ...
Cet ouvrage se revendique comme une oeuvre surréaliste !
Extrait de la préface du Dr Charose :
Hymne à la Liberté de Créer, les anti-biographies remettent en cause tout : la technique d'écriture, la vérité, les habitudes culturelles, les traditions, la chape de plomb du politiquement correct. Il n'y a dans ces textes ni maîtres à penser, ni écoles pour formater. L'irrespect est la règle et va jusqu'à remettre en cause ce qui est l'essence même de ce qui fait la personnalité des artistes. Artistes qui ont tous d'ailleurs très agréablement encouragé ce projet, et ce malgré les révélations parfois scandaleuses dont ils sont l'objet. |
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Catsomy, le chat qui dérape
Jérémy Taburchi
ISBN N°978-2-917790-03-8 / format 15x20 cm / Prix 8,50 euros
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Une bande dessinée en format strip !
Avec une couverture couleur et 52 pages intérieures en noir & blanc. C’est un recueil de strip (des petites bd de 2 à 3 cases) regroupés dans 8 rubriques (ma vie de chat / écologie / politique / Nice / tourisme & vacances / finances/humains et sports).
Mettant en scène un chat dénommé Catsomy, manipulateur, égoïste mais touchant car il dénonce sans relâche les injustices dans lesquelles la société le plonge. Héros du XXIème siècle, il vit au coeur de l'actualité. Certains disent qu'il est né un flingue à la main, mais cela n'a jamais été prouvé ...
67 strips et 21 dessins originaux ! (en noir et blanc) |
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Une saison avec le GYM
Carnet de route d’un supporteur niçois
Par Serge Gloumeaud
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Préface d’Olivier Echouafni, Capitaine de l’OGC Nice
ISBN N°978-2-917790-09-0 / 128 pages / Prix 10,50 euros / Format 14x22 cm / photos en noir & blanc
L’ouvrage :
En cette saison 2008/2009 de Ligue 1, Serge Gloumeaud un supporter inconditionnel de l'OGC Nice décide d'aller au bout de sa passion en suivant son équipe en déplacement aux quatre coins du pays.
Si ses voyages le conduisent vers les grandes métropoles du championnat telles que Paris, Lyon ou Marseille, il plonge aussi avec délice dans le charme pittoresque du fin fond de la Bretagne, de la Lorraine ou encore de la Sarthe. En solitaire ou mêlé à des groupes d'Ultras, il découvre ainsi la France du football et pose son regard de niçois sur les supporters, les stades et les villes qui l'accueillent. Une aventure parsemée de rencontres passionnées avec d'autres fadas du Gym «expatriés» ou comme lui, venus de Nice afin de défendre les couleurs rouge et noire.
En train, en avion, en voiture et même en scooter, laissez-vous emporter dans cette expérience originale et partagez avec lui ses joies, ses déceptions … et ses surprises !
L'origine du projet par Serge Gloumeaud :
Ma passion pour l'OGC Nice et mon attirance pour l'écriture se sont rencontrées à l'automne 2007. Après avoir assisté à un entraînement de mes héros de footballeurs, je réalisai un compte-rendu publié sur le forum du site Internet du Club. Ce fut le déclic. La lecture des commentaires enthousiastes me donna la confiance et l'envie de continuer sur cette voie.
Durant la saison 2007/2008, au-delà des comptes-rendus d'entraînements, j'eus la chance d'écrire quelques chroniques dans un journal sportif local et de réaliser mes premières interviews de joueurs pour le compte du magazine du club des supporters.
L'appétit venant en mangeant, dans mon esprit rouge et noir naquit un projet aussi excitant qu'osé : suivre l'équipe dans tous ses matchs de la saison 2008/2009 et à chacune des étapes, rédiger un carnet de route qui pourrait, dans mes rêves les plus profonds, plaire à un éditeur aussi fada que moi. Excitant, parce qu'un tel projet me permettrait d'aller tout au bout de ma passion. Osé, parce qu'une telle expérience, incluant des week-ends loin de la maison et des heures d'écriture, aurait inévitablement des incidences sur ma vie familiale et professionnelle. Le passage du conditionnel au futur ne se fera pas sans douleurs. Mais n'est-ce pas le prix à payer pour sortir des sentiers battus et faire vivre des idées auxquelles on croit ? |
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Blanche Balain : la Récitante, Camus retrouvé
Nice et la Drôme, 1940-1944
Pierre-François Astor
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ISBN 978-2-9524391-4-1 / 180 pages en format 14,5 par 20,5 cm
La genèse de l’ouvrage
En 2000, Blanche Balain publiait le premier tome de La Récitante, récit autobiographique dans lequel elle évoquait sa rencontre avec Albert Camus à Alger en 1937. Elle se mit très vite à la rédaction du second volume de ses souvenirs et parvint à le terminer, avant de s’éteindre dans l’été 2003. Il restait cependant un nombre important de corrections à apporter au texte. Elle en avait confié la charge à Pierre-François Astor, qui avait déjà édité le recueil de textes intitulé Mémoire et le premier tome de La Récitante. La correction sans l’auteur demande d’être extrêmement vigilant. C’est ce texte qui paraîtra cette année aux Editions Baie des Anges.
Blanche Balain est née en 1913. Les débuts de sa vie ont été marqués par de nombreux voyages accompagnant son père, officier dans l’armée coloniale. Un premier séjour en Indochine, puis en Algérie, avant de revenir en France et de repartir à Hanoi où elle va au lycée et passe son baccalauréat. Ce seront ensuite de nouvelles années à Alger, en compagnie d’Albert Camus et du Théâtre de l’Equipe. Elle quitte Alger en 1939 pour Nice et Anneyron dans la Drôme.
Albert Camus et Blanche Balain
L’amitié par-delà la 2ème guerre mondiale
Le deuxième tome de La Récitante s’ouvre au début de la guerre. Dans son petit village natal de la Drôme, la jeune femme qu’elle était vit dans une profonde solitude morale, accablée par les événements. Les nouvelles qui lui parviennent de ses amis d’Algérie sont rares. Elle écrit mais elle ne parvient pas à retrouver le souffle des poèmes qui avaient été celui de la Sève des jours, du moins en a-t-elle l’impression. Elle passe les hivers à Nice où sa famille s’installe, avenue des Fleurs. La Récitante rend-compte de l’atmosphère culturelle niçoise de ses années.
De retour dans la Drôme au printemps 1942, elle reçoit une lettre de Camus, retiré au Panelier. L’amitié renaît. Ils se retrouvent à Valence, Vienne et Saint-Etienne. Camus se charge à nouveau de publier les poèmes de Blanche chez Charlot. Mais le manuscrit est bloqué par le débarquement américain en Afrique du Nord et Temps lointain ne paraîtra qu’après-guerre. Ce sont ces années de 1940 à 1944 que La Récitante fait revivre.
Extrait :
“Janvier 44. L’hiver à Nice. Et si la lumière est souvent présente, le ciel et les palmiers, la mer cloîtrée derrière les murs, si tout cela demeure, le charme en est terni, annulé par le climat d’angoisse qui enveloppe les esprits et les cœurs.
Cet hiver ne sera pas gai, et il sera court pour nous ; trois mois, nous partirons en mars. En effet, les avions alliés rendaient visite à certains lieux comme les gares ou les voies ferrées, les installations ennemies. Un avis avait paru dans les journaux, invitant les personnes qui n’avaient pas d’obligations professionnelles ou familiales, à quitter la ville pendant que les voies étaient encore libres (intactes).
En février, je me souviens de « jolis » avions brillant au soleil, au-dessus de notre quartier, je m’étais précipitée sur le balcon pour les admirer !...” |
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Réussites d’inventeurs
Par Gérard Calomili
ISBN N° 9282952439169 / Format 16x24 cm / 132 pages / Prix 20,00 euros
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Dans cet ouvrage quatorze inventeurs ayant réussi nous expliquent en détail leurs parcours.
L’auteur a choisi de narrer des expériences très variées, afin que le lecteur trouve dans ces différentes trajectoires des enseignements utiles à ses propres projets. Au fil des pages le lecteur va découvrir les 14 trajectoires de ces inventeurs/innovateurs qui pour réussir ont créé leur entreprise.
Il ne faut pas pour autant penser que créer et diriger une entreprise est chose simple. C’est une aventure qui, tout comme l’invention, demande des qualités exceptionnelles. Les difficultés peuvent rendre l’aventure périlleuse, et même mener au désastre, il faut en être bien conscient. Pourtant, certains y ont réussi, et le lecteur aura bien compris le mérite de ceux qui sont parvenus à s’imposer dans le monde économique. Reste à s’inspirer des “recettes” qui sont ici relatées, et à les adapter à ses propres projets.
Comprendre comment l’inventeur a pu triompher des difficultés techniques, commerciales ou financières est assurément très instructif pour tous ceux qui s’intéressent à l’invention et à l’innovation.
Quand peut-on considérer qu’un inventeur a réussi ?
C’est lorsque son invention devient un produit fini disponible sur le marché : un produit qui est fabriqué et vendu. Comprendre comment l’inventeur a pu triompher des difficultés techniques, commerciales ou financières est assurément très instructif pour tous ceux qui s’intéressent à l’invention et à l’innovation. Cet ouvrage a pour ambition de donner à chacun quelques pistes pour atteindre, à son tour, la réussite. Puisse-t-il, également, donner l’envie d’inventer, d’innover et d’entreprendre.
Extraits :
Quelles leçons peut-on retenir des quatorze histoires que nous avons vécues dans ces pages ? Sans revenir sur le détail de chaque expérience, il nous faut analyser un phénomène remarquable : beaucoup de ceux qui réussissent ont créé leur entreprise. Ce n’est pas un choix volontaire de l’auteur, mais une réalité qui s’est imposée.
Alors en conclusion, oui c’est difficile de réussir, et on comprend mieux le mérite des inventeurs qui figurent dans cet ouvrage. Ils ont eu des démarches professionnelles, chacun à son niveau, et c’est là sans doute un de leurs grands talents. » |
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Une chance sur un million
Christophe Hierro
ISBN N°978-2-9515448-7-1 / Format 14,5x20,5 cm / 8 illustrations en n & b / 76 pages
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Un polar à la niçoise - Une intrigue qui débute à Nice !
Le récit d’une histoire folle mais réaliste, un nouveau roman qui mêle rêve acidulé, sombre réalité et coïncidences troublantes. Trois personnages qui se croisent
c.h. , un journaliste qui écrit des articles sans relief dans un banal journal de province. Casimir Smith, l’heureux gagnant au loto d’une énorme cagnotte de 50 millions d’euros, qu’il n’est jamais venu chercher. Natasha, une jeune femme hantée, depuis des années, par le désir de vengeance.
C’est aussi une histoire dans l’histoire. Celle d’un artiste complètement fou Sérial Art Killer, un tueur en série, qui utilise ses victimes comme matériau pour la réalisation de ses oeuvres.
Résumé :
« Un tirage du loto exceptionnel : cinquante millions d’euros. Un seul gagnant. Plus tard, l’inconnu le plus riche de la région n’avait toujours pas donné signe de vie.
D’ailleurs, jamais personne n’est venu réclamer son trésor. Comment cet individu a-t-il pu passer si près de la fortune sans saisir sa chance ? J’ai imaginé des dizaines de scenarii. »
Extrait :
Un grand vernissage d'art sur fond de Côte d'Azur. Il y a des jolies femmes maquillées comme des voitures volées, et des élus qui s'auto-congratulent, des artistes incompris, des pique-assiettes, des attachés de presse, des galeristes. On inaugure un nouvel espace culturel.
On a laissé une chance à quelques artistes bien introduits. C'est comme ça que ça se passe.
Si le talent était le seul moyen d'accéder à la reconnaissance, ça se saurait. Je suis aigri.
Les expériences graphiques qui sont exposées me rappellent mes premiers travaux d'école. La plupart de ces œuvres sont remarquables par leur manque de technique et pire encore par leur absence d'âme. Des monochromes, des phrases imbéciles sur des fonds merdiques, des empilements de faux détritus, des jocondes à moustaches, des capots d'automobiles froissés, rien que du déjà vu et revu mille fois. Les commentaires fusent.
Un artiste mondain filme toute la scène. Vous savez, c'est celui qui fait de la réclame à la télévision pour des pâtes surgelées.
Il avait eu ses belles heures de gloire.
“ Tu crois pas que c'est un peu exagéré, quinze mille euros pour ce bout de tôle rouillé, regarde-moi le travail, on dirait qu'il a chié dessus. “ |
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Le taureau du désert
Petite nouvelle des étoiles ...
Christophe Hierro
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ISBN N°978-2-9515448-5-5 / Format 13x21 cm – 5 illustrations en n & b – 64 pages / 9,00 euros
Le taureau du désert,
ça n'existe pas :
c'est juste un rêve,
mais quand même.
Il se passe des choses étranges :
des souvenirs,
des hasards,
des coïncidences,
des désirs,
des regards,
des présences,
et des rencontres extraordinaires.
Le taureau du désert,
ça n'existe pas.
c'est juste un rêve..
Pourquoi ?
Le taureau du désert, ça n’existe pas : c’est juste un rêve, mais quand même. Il se passe des choses étranges : des souvenirs, des hasards, des coïncidences, des désirs, des regards, des présences, et des rencontres extraordinaires. Le taureau du désert, ça n’existe pas. c’est juste un rêve.
“parce que le taureau c’est mon signe astrologique”,
“parce que je suis d’origine espagnole”,
“parce que c’est un sujet inépuisable”,
“parce que j’aime ça !”
Extrait :
Arrivé au Maroc, il avait retrouvé la piste du taureau. Le monstre avait fait des apparitions tellement furtives et fantomatiques que tout le monde croyait qu’il s’agissait d’affabulations d’alcooliques. Depuis ce jour, on surnomma le taureau Rackham le Rouge, sa tache de sang, d’un rouge rubis n’avait, paraît-il, jamais disparu. Un taureau gracié, c’est un taureau qui a des grosses couilles et qui va finir sa vie à brouter dans la pampa et forniquer toutes les plus belles femelles. C’était le prodige, le rescapé. Quand ils sont venus le chercher dans l’arène, il était toujours aussi nerveux, malgré son épuisement. Son avenir était tout tracé, mais il l’avait décidé autrement. Il avait défoncé toutes les barrières et s’était dirigé vers la mer. Personne ne sait comment ce monstre de sept cents kilos a traversé le détroit de Gibraltar. On dit ici que les rares taureaux qui traînent sont les descendants de Rackham. On ne sait pas non plus par quelle magie il assura sa descendance. |
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Guide d'introduction à la langue chinoise
Xiomin Huang-Giafferi
Maître de Conférences à l’Université de Nice-Sophia Antipolis et à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales de Nice
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Prix 13,00 euros / ISBN 2-9515448-1-2 / 80 pages, / format 16x24 cm
Ce livre est destiné en priorité aux étudiants de chinois, mais il pourra également intéresser les cadres de sociétés ayant des relations commerciales avec la Chine, ou désireuses de s’y implanter. Mais aussi auprès de personnes curieuses de la culture chinoise, ou ayant en projet un voyage en Chine.
Le chinois est une langue auditive et visuelle. Il invite à une gymnastique intellectuelle ; un public non-initié trouvera à cet apprentissage des aspects ludiques qu’il ne soupçonne pas.
Tel est le but de ce livre : communiquer l‘esprit de la langue. Démarche nouvelle de l’enseignement du chinois en Europe, ce guide d’introduction facilitera les premiers pas des étudiants, des érudits et des curieux vers la langue de Confucius.
On commencera avec une présentation globale du système linguistique avant d’envisager l’application concrète des règles de base. Une bibliographie raisonnée orientera enfin les futurs sinologues vers l’approfondissement des connaissances.
Avant-Propos par l'auteur :
Un Européen qui débute l'étude du chinois est à la fois fasciné par le mystère de cette langue et déconcerté par les difficultés rencontrées dans sa pratique. Il n'est pas rare de constater que, malgré une bonne maîtrise du sens, des erreurs ou maladresses rendent les expressions incompréhensibles. Afin de bien comprendre le fonctionnement caractéristique du chinois, il est important de se mettre en contact avec son usage courant dès le début de l'apprentissage. Une méthode efficace consiste à acquérir de façon naturelle la capacité linguistique sans recourir systématiquement à la traduction. C'est pour faciliter ces efforts que ce petit guide se propose de donner une introduction à la langue chinoise. L'objectif du guide est avant tout d'être pratique. Son intention n'est pas de constituer une référence grammaticale ni une étude linguistique, mais d'offrir un simple outil de travail, un "aide-mémoire" élémentaire qui cherche à répondre aux problèmes rencontrés dans la pratique de la langue. Aussi raccourcit-il volontiers l'analyse théorique et privilégie l'illustration par des exemples. C'est également pour cette raison que nous préférons choisir, à chaque fois qu'il y a matière à discussion terminologique, les définitions qui rendent l'emploi plus accessible aux non initiés. Rédigé à partir de l'enseignement pratiqué durant plusieurs années à l'Université de Nice, le présent travail portera en particulier sur quelques emplois grammaticaux qui relèvent de l'usage courant. L'inventaire est loin d'être exhaustif, le choix des problèmes soulevés a tenu compte de leur fréquence et des difficultés qu'ils représentent pour les débutants. |
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Menton, jardins d’Eden
Jean-Louis Luque
ISBN N°978-2-9515448-3-9 / format 14x22 cm / 28 pages tout en couleurs / 6,00 euros
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Le premier guide des jardins de Menton à Vingtimille “à pieds”
Ce livre édité en partenariat avec la Fondation Gaz de France, la Fédération Française de Randonnée Pédestre et la ville de Menton, vous propose un circuit pédestre à travers la ville avec comme point de départ la gare SNCF. Ce parcours vous permettra de découvrir « à pieds » les 5 principaux jardins de Menton, ainsi que les jardins de la villa Hanbury qui se situe sur la commune voisine de Vingtimille.
Extrait : Menton terre de jardins
La légende raconte qu’Eve, chassée du Paradis, a choisi Menton pour y enterrer un citron, ultime souvenir de l’Eden perdu ...
Depuis, la douceur du climat de la cité balnéaire a favorisé l’éclosion d’un grand nombre de jardins et de sites touristiques d’intérêt international. En plus d’un cadre géographique exceptionnel, Menton dispose également d’un microclimat particulièrement favorable à la croissance des végétaux, notamment ceux originaires de régions tempérées ou sub-tropicales.
Disposant d’une orientation sud-est et d’une latitude tempérée, la région mentonnaise profite d’un ensoleillement maximal. L’influence de la mer régule les amplitudes thermiques parfois excessives du climat méditerranéen et apporte une pluviométrie idéale. Plus au nord, les contreforts des Alpes la protègent des courants d’air froid et réduisent ainsi fortement les risques de gel.
Ces véritables bienfaits de la nature font que Menton est unanimement considérée comme la ville la plus tempérée de France ... |
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Cor Brasil by Marilia
Marilia de Laroche
ISBN 9-9515448-8-X / Format 22x22 cm, 16 photos, 12 photos-fiches / prix 19,50 euros
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Cet ouvrage se présente sous la forme d’un porte-folio, avec une pochette en format 22 cm par 22 cm contenant 12 photos. Surlignées de noir, estampillées Cor Brazil by Marilia, ces photos représentent le Brésil du quotidien, des scènes de la vie de tous les jours, des regards d’enfants, des paysages de Salvador de Bahia à Belo Horizonte en passant par le canal de Guarapi dans l’Etat du Espirito Santo, la plage de Copacabana en hiver et l‘église d’Itacarambi dans le Minas Gerais… La préface est signée Robert Mathey, organisateur du Sept Off, (exposition de photos dans de multiples lieux à Nice), qui définit les images de Marilia comme des photos dont «le cadrage est instinctif, le sujet improvisé, le regard dérobé, elle s'invente un style que l'on pourrait qualifier de photo spontanéiste, quelque chose entre la photo souvenir, la photo de reportage et l'instant décisif».
“J’utilise l’appareil photo - pour moi la plus fantastique des inventions humaines - pour en faire ce pour quoi il a été créé : capter l’instant. Je photographie depuis que mon grand-père me confia son vieil appareil à objectif Leica, “les meilleurs du monde”, disait-il tout fier. Cela remonte à 1972 et j’avais douze ans ! Ces photos, et ce “livre”, je les dédie à mon grand-père, o velho Chico.”
Marilia de Laroche
Extrait de la préface de Robert Mathey
Ce sont des photos dont le cadrage est instinctif, le sujet improvisé, le regard dérobé, elle s'invente un style que l'on pourrait qualifier de photo spontanéiste, quelque chose entre la photo souvenir, la photo de reportage et l'instant décisif. |
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Femme multiple ...
André Verdet
ISBN 2-9515448-4-7
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12 poèmes d’André Verdet côtoient 8 linogravures de Victor Bauer. 20 pages en format 22x32 cm imprimé sur papier Job Ivoire 170 grs
André Verdet est un poète au sens grec du terme. Celui qui crée. Et sa création se multiplie dans tous les domaines de l’écrit, des arts plastiques et de la musique, inspirée par la Provence et ses échappées vers les astres, par l’Amour, la Vie et parfois aussi par la violence du monde. Dans le panthéon des poètes de notre temps, André Verdet occupe sa place aux côtés de Jacques Prévert, Jean Cocteau ou Paul Eluard, qui furent ses amis. Mais vers ce panthéon, il est monté paisiblement, comme on traverse une colline d’oliviers un après-midi d’été. Dans C’est à Saint-Paul-de-Vence, Jacques Prévert écrit : «André Verdet et il n’est pas le seul écrit des poèmes de vive voix de la main à la main de gaîté de cœur et parce que ça lui fait plaisir et il se promène dans ses poèmes à la recherche de ce qu’il aime et quand il trouve ce qu’il aime il dit bonjour et il salue oui il salue ceux qu’il rencontre quand ils en valent la peine ou le plaisir ou la joie…»
L'ouvrage :
12 poèmes inédits d’André Verdet accompagnés de 8 reproductions de dessins de Victor Bauer, pour un livre alliant art et poésie, dans un grand format et sur un papier luxe (Job Ivoire 170 grs), bref un livre d’art/poésie à collectionner ! |
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Je vous aime comme je t'aime
114 poèmes d’amour d’André Verdet
ISBN 2-9515448-2-0 / 114 poèmes d’amour par André Verdet, format 16x24 cm, 140 pages
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«Ces poèmes, composant l’ouvrage qui vient de paraître en édition, ont été rassemblés comme une gerbe de fleurs diverses par la philosophe Françoise Armengaud, ont donc été vécus par moi au cours de ma longue vie foisonnante de femmes. Certaines ont rejoint les étoiles, elles continuent à vivre dans mon corps, mon cœur et mon esprit»
André Verdet
Je vous aime comme je t'aime réunit 114 poèmes d'amour, dans une présentation qui a cherché à respecter la chronologie de l'écriture plutôt que celle des dates de publication. A travers ce demi-siècle de poésie, André Verdet chante la vie. Celle de la Jeunesse, légère comme un matin méditerranéen ; celle, grave, sombre et angoissante du matricule 186.524 ; celle enfin savoureuse et sensuelle d’Eros Troubadour. On retiendra cette phrase de Pierre Restany, en 1964, qui écrivait : La leçon d’André Verdet est une vérité première : la vie n’est ni poème, ni peinture, ni philosophie : la vie EST. |
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Monographie Lipa
Pierre-François Astor
ISBN 2-9515448-0-4 / La biographie complète du sculpteur/peintre Lipa / format 16x24 cm / 40 œuvres reproduites
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Qui est Lipa ?
Lipa, élève de Brancusi, compagnon de Fernand Léger, d’André Derain, de Hans Arp, a inscrit son travail dans le cycle des grands artistes du siècle de l’Art moderne. On devrait même dire qu’il est un des derniers modernes, avant l’éclosion des artistes que l’on qualifie désormais de contemporains. Pendant trente ans, entre Paris, Monaco et les Etats-Unis, Lipa n’a cessé d’exposer son travail. S’il est connu et apprécié des collectionneurs, Lipa reste aujourd’hui étranger au grand public. Mieux connaître l’homme, c’est le suivre dans les grandes lignes qu’en trace sa biographie. Mieux connaître l’œuvre, c’est la redécouvrir à travers une sélection de quarante photographies originales. Telle est l’ambition de la première monographie que nous lui consacrons aujourd’hui.
Biographie et Hommage
Lipa a gagné une place autonome dans l’histoire de l’art moderne grâce à son don de faire jaillir la sensualité de la matière en des formes épurées. Trois parties compose la monographie Lipa : Première partie, biographique elle montre à quel point un homme seul, face à une nature des plus rudes, peut se montrer déterminé et courageux, même si cette dernière nous laisse tout de même des moments de répit. Deuxième partie, photographie de 40 sculptures. Répartie en trois sections distinctes : Enchevêtrement substantiel/Acharnement de la matière/Métamorphismes ouvrant au lecteur trois espaces contemplatifs différents qui mettent en évidence l’unicité certaine de l’art de Lipa par rapport à son époque, sa maîtrise des matériaux les plus divers – le bronze, la pierre, la terre cuite, la résine – et son extrême prédilection pour le bois dont il sublime les imperfections naturelles en de véritables formes éternelles, témoins ascensionnellement silencieux de sa mélancolique vision de l'univers. Troisième partie composé de 6 écrits : Gilles Perrault, André Verdet, Frédéric Altmann et Michel Gaudet, que l’on ne présente plus, et un écrit de son fils Pierre, ainsi qu’un de ses amis Pierre Pineau, et se conclut par une biographie et un résumé de ses principales expositions.
J’aime beaucoup la simplicité dans l’art car je crois que la simplicité est la chose la plus compliquée que l’on puisse acquérir. C’est à cause de cela que j’admire beaucoup l’œuvre du sculpteur Brancusi que je considère comme mon maître. Cet homme farouche était un grand penseur et ne recherchait que la simplicité.
Lipa, 1955 |
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